Jules

Hendécasyllabes comme le nombre, impair, de parties que Jules a jouées en Crête. Le choix du sizain figure la quantité " bridée " d'adversaires contre qui il s'est, proprement, échiné; sur 8 strophes d'un rappel échiquéen.

La forme du dièse métaphorise l'élévation d'un demi-ton, comme un intervalle de second.

Il y a quelques "private jokes" avec son père, susceptibles de "troubler" : " Vers sommaires " qui évoque le fleuve "Laid bonze et fond d'exquis" débuté à l'aller, conjointement, dans l'avion ou le problème de Laurent en forme de mandala (" bouts d'âme " ;o), onirique avec pièces féeriques sur échiquier Duchampien, dont l'intitulé surréaliste était précisément "les Blancs jouent et rien" ...réellement " résolu " par Jules !!
En permutant les signes Blancs et Noirs, détachables (comme un distinguo utile pour les couleurs de cases…qui me fait penser au taiji du drapeau coréen, Yang-Yang, noir de cases noires, Yang-Yin, noir de cases blanches, Yin-Yin blanc de cases blanches et Yin-Yang blanc de cases noires) sur la tête des 4 Fous du jeu.
Sinon, " moujik " et le parallèle avec la musique sont des correspondances avec ce que son papa m'a raconté de sa jeune carrière.

Pour Jules, bravissime au… tournoi, et bien d’autres choses encore !

© Eric Prié 2005                                                              Accueil                                                                 Sommmaire